[FEMMES D'ICI ET D'AILLEURS]
Le Cabaret Sauvage vous invite le 04 mai 2018 à 20h pour découvrir le nouveau
projet de
Samira
Brahmia - سميرة براهمية.
Après des mois de résidence de création, avec ses compagnons de route Khliff
Miziallaoua à la guitare, Karim Ziad à la batterie, Hichem Takaoute à la basse,
Alain Debiossa au saxophone et Meddhy Ziouche au clavier, elle revient à sa
maison ; le Cabaret Sauvage, pour présenter sa nouvelle création.
Cette dernière reflète la diversité de son histoire et de ses influences.
Mâtinée de musiques rock, pop, africaine et maghrébine, elle a pour ambition de
rendre hommage aux aventuriers de l'exil - les migrants, les réfugiés - ceux
qui rêvent d'une vie meilleure, au péril de leur vie. Elle y revisite aussi
certaines chansons éternelles qui célèbrent la diversité et l'universel, et
elle y rend un hommage appuyé à ces figures féminines venue d'Afrique qui sont
pour elle des modèles.
Elle aura la joie de partager ce moment avec des invités exceptionnels sur
scène, et vous qui la suivez depuis toutes ces années…
BIO
Samira Brahmia
- سميرة براهمية
Depuis quelques saisons, dans le milieu de la musique griffée Maghreb, l’on a
repéré cette personnalité à la force tranquille et sa voix à la suavité d’un
onguent. Mais avec son passage à l’émission « The Voice » où elle défendait
crânement « Haramtou Bik Nouassi », chanson d’amour du creuset arabo-andalou,
Samira Brahmia a plus que galvanisé un auditoire en Algérie, elle a compris
qu’un nouveau public l’attendait des deux côtés de la Méditerranée.
Un signe d’encouragement pour une chanteuse qui revendique son identité
plurielle et a l’ambition de bousculer les codes esthétiques pour faire voyager
son art hors des territoires assignés.
Toute son histoire la porte vers cette multiculturalité. Ce sont ses intenses
participations à diverses éditions des « Folles Nuits Berbères », « Barbès Café
», « Cabaret Tam Tam » au Cabaret Sauvage qui permettent à de nombreux
professionnels de deviner la palette de son talent. C’est que celle qui en
pince pour le swing d’Ella Fitzgerald, le groove de Cheikha Rimitti, la fougue
d’Edith Piaf, la saudade de Cesaria Evora, a comme ses illustres ainées une
voix dont le grain, la dynamique, la texture, la classe rappelle celles dont on
dit qu’elles guérissent.
Samira Brahmia, à qui la chance sourit, a été choisie pour le rôle principal du
premier long métrage de l’actrice césarisée Rachida Brakni. Preuve d’une bonne
étoile pour celle qui assure « Je crois en la musique car elle me permet de
croire en l’humain et je suis persuadée qu’elle peut sauver le monde ».
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